Vous avez besoin d’un soutien immédiat ?
Veuillez composer le 8-1-1 pour obtenir des informations et des conseils généraux sur la santé. Les membres des peuples autochtones peuvent aussi appeler la ligne d’écoute d’espoir pour le mieux-être au 1-855-242-3310.
Il existe deux médicaments appelés « traitements de première intention » pour la dépendance à l’alcool. Il s’agit de la naltrexone et de l’acamprosate. Les médicaments de première intention sont considérés comme les choix les plus fiables pour traiter la dépendance à l’alcool. Cela signifie que des scientifiques ont effectué des recherches et constaté que ces médicaments sont efficaces pour un grand nombre de personnes.
Naltrexone (Revia)
Acamprosate (Campral)
Je ne savais pas qu’il existait d’autres options jusqu’à ce que je me rende dans un centre de traitement des dépendances où l’on m’a orienté vers un psychiatre qui m’a prescrit de la naltrexone.
Il existe deux médicaments dits « de seconde intention » pour la dépendance à l’alcool. Il s’agit de la gabapentine et du topiramate. Ces médicaments ont fait l’objet de moins de recherches sur leur efficacité et sont généralement utilisés lorsque les médicaments de première intention n’ont pas fonctionné.
Gabapentine (Neurontin)
Topiramate (Topamax)
La gabapentine aide, mais elle ne met pas l’alcoolisme en rémission. Je ne l’ai pas prise comme on me l’avait prescrite et j’en suis rapidement devenue dépendante. C’est pourquoi il faut aussi prendre soin de sa santé mentale.
J’ai dû essayer un certain nombre de médicaments avant de trouver la combinaison qui fonctionnait le mieux.
Il existe également des services de psychologie en toxicomanie à court terme, gratuits ou peu coûteux, qui sont financés par l’État dans plusieurs provinces et territoires.
Divers types de suivi aident à gérer le trouble de l’usage de l’alcool : suivi individuel, de couple, familial ou de groupe. Il est important de trouver le type de suivi qui correspond à vos besoins et à vos objectifs. La combinaison du suivi psychologique et du traitement médicamenteux s’avère le plus efficace, c’est pourquoi il est conseillé de demander à votre médecin les options qui s’offrent à vous.
Pour connaître les services de santé et de soutien à l’échelle nationale et régionale auxquels vous avez accès pour vous aider avec votre consommation d’alcool, consultez le site Web du gouvernement du Canada.
Thérapie cognitivocomportementale
Thérapie familiale
Thérapie pleine conscience
L’une des choses les plus importantes est l’honnêteté. Je ne disais pas à quel point je me débattais, mais une fois que j’ai été honnête, il y a eu de l’espoir.
Les programmes communautaires sont des ressources de votre région pouvant vous aider à résoudre vos problèmes de consommation d’alcool. Ces programmes comprennent des groupes de soutien et des organisations qui offrent de l’aide et du suivi pour composer avec les défis liés à l’alcool et promouvoir le bien-être à long terme.
Pour plus d’informations sur les AA et SMART Recovery, cliquez ici.
J’ai trouvé un groupe d’amis en fin de parcours de rétablissement, avec lesquels je me sens maintenant libre de partager mon expérience, mes forces, mon espoir et mes difficultés chaque fois que j’en ai besoin. La confiance que je ne laissais plus entrer dans ma vie et dans mes relations est revenue. Je suis aujourd’hui fier d’être en rétablissement et totalement transparent et ouvert à propos de mon passé et de ma nouvelle réalité. C’est tellement plus facile et libérateur d’être authentique; je suis qui je suis, j’ai un passé et c’est bien ainsi.
Programmes de traitement ambulatoire intensif
Programmes de traitement en milieu hospitalier
Logements supervisés pour le rétablissement
Groupes de soutien par les pairs
Chaque étape sur le chemin de la sobriété m’a apporté un outil supplémentaire pour devenir sobre. La sobriété n’a jamais été l’objectif final. Mon but était de revenir dans le monde du vivant.